Basse-sur-le-Rupt

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Basse-sur-le-Rupt
Basse-sur-le-Rupt
Monument des fusillés de la Résistance
à la Piquante Pierre.
Blason de Basse-sur-le-Rupt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Épinal
Intercommunalité Communauté de communes des Hautes Vosges
Maire
Mandat
Nadine Perrin
2020-2026
Code postal 88120
Code commune 88037
Démographie
Gentilé Bassurois(es)
Population
municipale
866 hab. (2021 en diminution de 0,69 % par rapport à 2015)
Densité 63 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 59′ 22″ nord, 6° 46′ 05″ est
Altitude Min. 409 m
Max. 1 060 m
Superficie 13,73 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Vagney
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de La Bresse
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Basse-sur-le-Rupt
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Basse-sur-le-Rupt
Géolocalisation sur la carte : Vosges
Voir sur la carte topographique des Vosges
Basse-sur-le-Rupt
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Basse-sur-le-Rupt
Liens
Site web Site officiel de la commune

Basse-sur-le-Rupt [bas syʁ lə ʁy] Écouter est une commune du massif des Vosges, dans le département des Vosges en région Grand Est. Elle appartient à l'aire urbaine de La Bresse. Elle fait partie de la Communauté de communes des Hautes Vosges. C'est l'une des 189 communes[1] du parc naturel régional des Ballons des Vosges.

Ses habitants sont appelés les Bassurois Écouter.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Vue sur le hameau de Planois (carte postale Adolphe Weick.)

Basse-sur-le-Rupt est bordée à l'est par La Bresse, au sud-est par Cornimont, au sud par Saulxures-sur-Moselotte, au sud-ouest par Thiéfosse à l'ouest par Vagney.

On note que Basse-sur-le-Rupt est en contact avec La Bresse en un seul point, situé sur la borne dite Pierre des Quatre Communes.

La commune est composée de sept hameaux :

  • la Burotte, Contrexard, Planois, Presles, Pubas, Trougemont, l'Echté.


La commune est distante de 9,1 km de La Bresse, 12,3 de Dommartin-lès-Remiremont et 17,9 de Remiremont[2].

Localisation dans le département.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Basse-sur-le-Rupt
Gerbamont Rochesson
Vagney Basse-sur-le-Rupt La Bresse
Thiéfosse Saulxures-sur-Moselotte Cornimont

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le Haut du Roc, site classé, repose sur un socle de granite couronné par un plateau de grès vosgien, parsemé d'un grand nombre de blocs erratiques transportés par les anciens glaciers, témoins de la glaciation.

Le point culminant de la commune se trouve au sommet de Ronfaing (1 060 m)[3]. La commune est composée de plusieurs petits hameaux avec au centre, Planois où se trouve la mairie et l’église à 650 m d'altitude.

Le hameau est entouré par quelques sommets, dont certains dépassent les 1 000 m comme le Haut du Roc et la Piquante Pierre. Mais aussi le Bambois de Planois (840 m) qui surplombe directement le village au nord, la Haute Rapaille (803 m) au sud ou encore le Sarimont (974 m) à l'est.

Sismicité[modifier | modifier le code]

Commune située dans une zone de sismicité modérée[4].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Basse sur le Rupt et le ruisseau des Trys[5],[Carte 1].

Les sources du Rupt sont situées au pied du Rondfaing, au Haut de Presles à 950 mètres, au dessus de la Croix des Moinats (890 mètres)[6]. Le toponyme Rupt ou la finale -rupt, fréquents en Lorraine, sont une graphie régionale pour le mot ru signifiant précisément « ruisseau »[7].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Basse-sur-le-Rupt.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 2 027 mm, avec 14,7 jours de précipitations en janvier et 11,9 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 551,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18,1 °C, atteinte le [Note 1],[10],[11].

Statistiques 1991-2020 et records BASSE-S-L-RUPT (88) - alt : 445m, lat : 47°59'25"N, lon : 6°43'36"E
Records établis sur la période du 01-04-2002 au 31-05-2021
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −1 −1,5 0,5 3,5 7,6 11,3 12,7 12,5 8,9 6,2 2,7 0,1 5,3
Température moyenne (°C) 2,3 2,9 6,2 10,1 13,7 17,8 19,3 18,9 15,3 11,5 6,7 3,2 10,7
Température maximale moyenne (°C) 5,6 7,3 12 16,7 19,8 24,3 25,8 25,2 21,7 16,7 10,6 6,3 16
Record de froid (°C)
date du record
−15,4
07.01.17
−17,8
07.02.12
−18,1
01.03.05
−8
08.04.03
−2,1
07.05.19
0
03.06.06
4
03.07.11
3,9
30.08.09
−0,7
29.09.02
−6,7
29.10.12
−10,6
30.11.10
−18,1
20.12.09
−18,1
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
15,8
16.01.20
23,8
27.02.19
26,3
31.03.21
29,7
28.04.12
32,4
25.05.09
37,9
26.06.19
39,3
25.07.19
39
12.08.03
33,9
14.09.20
28,1
16.10.17
23,8
08.11.15
16,1
24.12.12
39,3
2019
Précipitations (mm) 179,5 133,1 124 87,5 128,3 105 102,4 125,2 92,3 138,4 144,8 191,1 1 551,6
Source : « Fiche 88037003 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
5,6
−1
179,5
 
 
 
7,3
−1,5
133,1
 
 
 
12
0,5
124
 
 
 
16,7
3,5
87,5
 
 
 
19,8
7,6
128,3
 
 
 
24,3
11,3
105
 
 
 
25,8
12,7
102,4
 
 
 
25,2
12,5
125,2
 
 
 
21,7
8,9
92,3
 
 
 
16,7
6,2
138,4
 
 
 
10,6
2,7
144,8
 
 
 
6,3
0,1
191,1
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Situation géographique de Basse-sur-le-Rupt.
Légende
Légende


Voies routières[modifier | modifier le code]

  • Située en moyenne montagne, la commune de Basse-sur-le-Rupt s'allonge sur une dizaine de kilomètres, le long de la départementale 34 qui relie Vagney à La Bresse[14], passant de 409 m à 1 060 m d'altitude.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Gare de Remiremont.

Lignes SNCF[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Basse-sur-le-Rupt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[17],[18],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Vagney, une agglomération intra-départementale regroupant 10 communes[20] et 13 190 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[21],[22]. La commune est en outre hors attraction des villes[23],[24].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,6 %), prairies (22,1 %), zones urbanisées (14,7 %), zones agricoles hétérogènes (9,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,9 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sur le Rupt en 1704[26], La Basse sur le Rupt en 1790[27].

L'élément Basse désigne des « terres basses »[26], basse signifiant précisément « bas-fond » en langue d'oïl.

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune fut créée à la Révolution française par la réunion de différents hameaux de la vallée du ruisseau de Basse sur le Rupt, affluent de la Moselotte.

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Durant la Seconde Guerre mondiale, au moment de la Libération de la France, la commune de Basse-sur-le-Rupt fut le théâtre d'un épisode tragique. En raison de sa situation à la fois en altitude et entourée de forêts, la Piquante Pierre, un des plus hauts sommets de la commune, abritait un maquis. Celui-ci fut attaqué et détruit le par l'armée allemande[28],[29].

La Piquante Pierre devint ensuite un lieu de mémoire où fut érigé un monument aux morts en souvenir des 83 maquisards disparus.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

Basse-sur-le-Rupt, qui relevait de l'arrondissement d'Épinal, a été rattachée à l'arrondissement de Saint-Dié-des-Vosges du au .

Par arrêté préfectoral du , la commune est retirée le de l'arrondissement de Saint-Dié-des-Vosges et rattachée à l'arrondissement d'Épinal[30].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
11 mai 1904 1919 Émile Mathieu (1851-1919)   Comptable
10 décembre 1919   Camille Belzung    
Les données manquantes sont à compléter.
5 août 1951 21 mars 1959 Léon Perrin (1903-1976)   Cultivateur
21 mars 1959 21 mars 1971 Adrien Perrin (1910-1987)    
21 mars 1971 21 mars 1977 Daniel Perrin    
21 mars 1977 21 mars 1983 Raymond Perrin    
21 mars 1983 juin 1995 Daniel Perrin    
juin 1995 mars 2014 Marc Grandemange    
mars 2014 En cours Nadine Perrin DVD Suppléante du député UDI Christophe Naegelen

Finances locales[modifier | modifier le code]

Budget et fiscalité 2022[modifier | modifier le code]

Mairie au centre de Planois.

En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[31] :

  • total des produits de fonctionnement : 713 000 , soit 794  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 633 000 , soit 705  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 159 000 , soit 177  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 171 000 , soit 191  par habitant ;
  • endettement : 225 000 , soit 251  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 16,33 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 36,39 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 16,75 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation : 23 180 [32].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

En 2021, la commune comptait 866 habitants[Note 3], en diminution de 0,69 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
7685647878318598429079031 026
1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
1 0261 0351 1931 2211 1861 2061 1339991 090
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
982923932914893932897838778
1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021
704786804819881890878864866
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[37] :

  • École maternelle et primaire,
  • Collèges à Vagney, Cornimont, La Bresse,
  • Lycées à Gérardmer, Remiremont.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[38] :

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture - apiculture - pêche[modifier | modifier le code]

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Auberge du Haut-du-Roc[41].
  • Locations saisonnières[42].
  • Gîte de séjour[43].

Commerces et services[modifier | modifier le code]

  • Commerces de proximité à Vagney[44].
  • Activité industrielle :
    • La scierie Duhoux[45],
    • Scieries hydrauliques à cadre, Usine de taille de granite dite graniterie[46],[47],
    • Usine de taille de granite dite graniterie[48].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Nicolas : culte dépendant de la paroisse du Ban-de-Vagney[49].
  • Le Haut du Roc : ce site à 1 014 m d'altitude, partagé avec la commune de Saulxures-sur-Moselotte, est implanté sur des poudingues (mélange de grès et de galets). Sur une plate-forme qui offre un large panorama sur la commune, une croix a été érigée en 1933.
  • La Pierre des Quatre Communes : cette pierre que l'on trouve dans la forêt sur les sentiers de promenade est une borne qui marque la limite de la commune avec ses trois voisines, La Bresse, Cornimont et Rochesson. Il s'agit également du point culminant de la commune à 1 060 ;
  • La Piquante Pierre[50]. On ne connaît pas très bien l'origine de ce monolithe situé à 1 008 m d'altitude. Il est cependant remarquable car si on le regarde bien on peut constater qu'il est formé de 4 visages (un peu à l'image des statues de l'île de Pâques). Chacun de ces visages indique un point cardinal[51].
  • Monuments commémoratifs :
    • monument aux morts du maquis ;
    • la Croix des Moinats : un monument commémore le souvenir des goums marocains au col de la Croix des Moinats. Leurs bataillons (appelés tabors) comprenant 12 000 goumiers ont combattu dans la région durant la Seconde Guerre mondiale en y laissant un lourd tribut puisque 9 000 d'entre eux furent tués ou blessés ;
    • monument aux morts devant l'église, Plaque commémorative 1914-1918 dans l'église, Monument commémoratif des Goumiers marocains sur la RD 34 en direction de Planois, Monument commémoratif du maquis de "la Piquante Pierre"[52],[53].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Tranché : - au I : d'argent, aux monts de sinople mouvants de la pointe chargés d'une pierre de granit d'argent mouvant aussi de la pointe et mise en pal ; - au II : d'or, à la roue à aubes de sable ; - une cotice en bande d'azur brochant la partition ; - au chef de gueules chargé de sept besants d'argent rangés en fasce.
Commentaires : Le blason est récent, dessiné en 1999 par un artiste local, Olivier Claudon.

On y discerne les points caractéristiques de la commune[56] :

  • ses sept hameaux : la Burotte, Contrexard, Planois, Presles, Pubas, Trougemont et l'Echté ;
  • la rivière qui la traverse : le Rupt, affluent droit de la Moselotte ;
  • son histoire économique fondée :

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Basse-sur-le-Rupt » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Liste des 189 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
  2. Itinéraires
  3. Les accumulations glaciaires de la vallée de la Cleurie (Vosges), par Jean-Claude Flagbollet. J. Hameurt. Contributeur : G. Voirin. Revue Géographique de l'Est Année 1971 11-2 pp. 119-181
  4. Liste des communes couvertes par un (PPR) ou classées en zone sismique
  5. « Fiche communale de Basse-sur-le-Rupt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  6. Le Réseau Hydrographique : La Moselotte
  7. Auguste Longnon, Les noms de lieu de la France : leur origine, leur signification, leurs transformations...(lire en ligne).
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Basse-s-l-rupt » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Basse-s-l-rupt » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  14. Itinéraires
  15. Fluo Grand Est : Vosges
  16. Gare routière de Remiremont
  17. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  19. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Unité urbaine 2020 de Vagney », sur insee.fr (consulté le ).
  21. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  26. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6), p. 57a.
  27. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne).
  28. Commandant Gonand, « Lucien », 3 années de Résistance dans la montagne vosgienne, journal de marche du 4e groupement F.F.I. des Vosges. Imprimerie-librairie Union - Thann. Imp. no 10635. Dép. lég. IIe tr./46. page 95.
  29. Louis Hans, La Bresse martyre : Maquis de la Piquante-Pierre, .
  30. Préfecture de la région Grand Est, « Arrêté préfectoral no 2023/488 portant modification des limites territoriales des arrondissements du département des Vosges », Recueil des actes administratifs Édition du ,‎ , p. 71-83 (lire en ligne [PDF], consulté le )
  31. Les comptes de la commune de Basse-sur-le-Rupt.
  32. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet.
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Établissements d'enseignements
  38. Professionnels et établissements de santé
  39. paroisse Ban-de-Vagney
  40. Entreprises
  41. Auberge du Haut-du-Roc
  42. Locations saisonnières
  43. Gîte de séjour
  44. Commerces et services de proximité
  45. Ancienne scierie Clément
  46. Scieries hydrauliques à cadre
  47. « scierie hydraulique, enquête thématique régionale (architecture rurale des Hautes-Vosges) ; patrimoine industriel », notice no IA88001802, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  48. Turbine de type Girard en fonte de fer moulée à axe vertical, à admission axiale partielle et échappement libre
  49. Les paroisses : Planois (partie de Basse-sur-le-Rupt.
  50. Le monolithe de la Piquante Pierre
  51. La Bresse et ses alentours : La Piquante Pierre
  52. Monument aux morts
  53. Monuments commémoratifs.
  54. « Biographie de Isidore Étienne », sur Écrivosges, dictionnaire des Vosgiens célèbres (consulté le ).
  55. Les trois frères Claude ensemble en coupe du monde Biathlon
  56. Basse-sur-le-Rupt, sur genealogie-bisval.net/
  57. Héraldiquel.